liaison avec quelqu’un, du moment
qu’elle me plairait, je ne souffrirais qu’on
se permit d’en parler. — Dis-tu cela pour
moi. — Oui, si tu as eu l’intention de me
faire une mauvaise plaisanterie, tu me
connais assez pour savoir que je ne les
aime pas. — Cela suffit. — Allons, messieurs,
repris-je à l’instant, je connaissais les deux
personnages, attacheriez-vous de l’importance
à quelques expressions échappées
au milieu de plaisanteries sans conséquence.
Tout le monde s’écria : Ce
serait une folie. Dul.. et Duranc.... ne
firent aucune réflexion, on regarda cela
comme terminé, et les dames parlèrent
d’aller au jardin, tout le monde se leva
et s’y rendit. Madame de Lafo… s’empara
de Duranc...., en lui disant :
M. le comte, c’est la première fois que
vous me faites l’honneur de venir ici, je
prends votre bras, vous serez mon cavalier.
Madame Dejo.... en fit de même avec Dul.., et nous nous promenâmes dans le jardin. On ouvrit le pavillon, on lui rendit