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M. Lepr.... demanda de quoi il était question : je le lui dis sans nommer les masques, et il lâcha quelques mauvaises plaisanteries sur les amans trompés, en ajoutant qu’on ne le duperait pas ainsi : ce qui augmenta notre gaîté ; il tenait une fabrique de bougie, et il n’y voyait pas plus clair qu’un autre. Dul.. nous promit de nous tenir au courant de son aventure amoureuse.

Nous en étions là, lorsque le comte Duranc.... arriva, c’était un très aimable homme, capitaine au régiment, mais d’une grande susceptibilité ; il était très lié avec Dul.., qui aimait beaucoup à plaisanter.

On parla de femmes, de plaisirs, de parties fines, d’amour, de maîtresses. Ma foi, dit Dul.., je n’ai point des passions en titre, je vis sur le commun ; si je ne puis moissonner, je glane partout, et ce qui me tombe sous la main, me convient. Les comtesses, les marquises, les bourgeoises, les ouvrières, sont de bonne prise pour moi ; toute femme jeune et jo-