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même temps je gamahuchais l’autre, dont le con se trouvait à la hauteur de ma bouche. Elles jouissaient donc en même temps et ne pouvaient se plaindre.

Je déchargeai deux fois sans déconner, ensuite nous reprîmes haleine. Je bandais toujours, elles changèrent de place, et madame Dejo.... reçut la même ration, elle était insatiable et aurait voulu avoir éternellement le vit dans le con. Ces deux premières épreuves subies, nous continuâmes cependant à paillassonner : pour varier leurs plaisirs, je leur proposai de les enculer. Elles y consentirent, et pendant que j’en enfilais une par derrière, l’autre lui branlait le con ; elles trouvèrent tout cela fort agréable, et ne pouvaient, disaient-elles, suffire à tant de plaisirs, à tant de voluptés.

Nous épuisâmes tout ce que la fouterie et la paillardise ont de plus raffiné, et nous prîmes un peu de repos, en nous félicitant réciproquement de notre bonheur. Les glaces répétaient tous nos mouvemens et nos désirs, nos jouissances