ou trois personnes ; elle s’en moque, mais
c’est très mal : lui ressemblez-vous ? —
Non, je sais me taire. — Nous verrons si
vous êtes digne de votre bonheur, et de
celui qu’on peut vous garder encore. J’ai
beaucoup de choses à vous dire, vos messieurs
font des conquêtes ; j’ai appris
cela, nous en jaserons et nous rirons.
Quel malheur ! de ne pas être seuls : vous me comprenez. — Très bien. — Cela serait si joli. — Surtout pour moi. — Je vous en livre autant. — Je n’étais pas fâché de l’accident, je ne voulais pas me mettre sur les dents ; pour une seule femme, je voulais porter mon offrande ailleurs. Madame Dejo.... était fort aimable ; mais je la savais déjà par cœur, et je voyais dans la société d’autres femmes, qui valaient bien la peine qu’on s’occupât d’elles. Je ne voulais, cependant, pas la quitter, j’étais bien aise d’être au courant de la chronique scandaleuse.
Je fis le passionné auprès d’elle, et cela me réussit, je l’avais trop bien foutue, pour qu’elle ne gardât pas de moi un doux sou-