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Messaline. Elle foutait avec tout le monde pour se distraire ; mais son amant intime fut longtemps un chirurgien qui s’épuisait à limer le con de cette mégère ; elle lui donna pour successeur un jeune-homme qu’elle a épuisé après l’avoir épousé.


Il est mort : maintenant elle habite Paris, et ne trouvant plus d’homme assez courageux pour l’enfiler, elle se branle avec un godmiché, ou se fait foutre par un laquais ad hoc, qui outre ses gages, reçoit une prime de dix francs, chaque fois qu’il fourgonne le vaste et antique con de la dame.


FIN.