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amant, à entourer son cou de mes bras pendant qu’il me fait les plus tendres caresses, ma passion favorite est de faire une sorte de mélange de la pudeur et du libertinage, aussi me voit-on rougir, baisser les yeux pendant l’action ; oui, j’aime à jouer la modestie pendant qu’un jeune amant dévoré de désirs sans fruit me retrousse jusqu’aux aisselles, mes cuisses fermes et blanches les écarte, introduit dans ma fente rose et vermeille un doigt libertin qu’il pose sur la petite éminence que vous savez, et le fait agir avec adresse. Combien mon bonheur est grand ! mes fesses s’agitent doucement, tout mon corps tremble de bonheur ; je serre mon aimable amant à l’étouffer et poussant de longs légers soupirs semblables aux doux gémissemens de la tourterelle, je lui mets dans la main des indices non équivoques du plaisir qu’il me fait goûter, et je me pâme enfin dans ses bras ravie au septième ciel et inondée de félicité.