Page:Les œuvres libres - volume 42, 1924.djvu/82

Cette page a été validée par deux contributeurs.
76
LA DENT D’HERCULE PETITGRIS

breuse dans son esprit, et qu’il garderait toujours au fond de lui le poison du doute. C’était absurde, il ne l’ignorait point. Mais tout de même… tout de même… il y avait tant de preuves !… Ce cadavre exhumé… ce fourgon…

— Crebleu de crebleu ! s’écria-t-il en un accès de révolte furieuse, quel bonhomme infernal ! Si jamais je le repince, celui-là !


Mais Rouxval savait fort bien que Petitgris n’était pas de ceux qu’on repince…


Maurice Leblanc