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ÉTRANGE PHÉNOMÈNE

été plus inexplicable encore que la disparition de l’homme lui-même ?

Où est-il ? Où est-il ?… Il n’a pu passer par une porte, ni par une fenêtre ni par rien. Il n’a pu passer à travers nos corps !…

J’avoue que, dans le moment, je fus anéanti. Car, enfin, il faisait clair dans la galerie, et dans cette galerie il n’y avait ni trappe, ni porte secrète dans les murs, ni rien où l’on pût se cacher. Nous remuâmes les fauteuils et soulevâmes les tableaux. Rien ! Rien ! Nous aurions regardé dans une potiche, s’il y avait eu une potiche !



Comment ce mystère, grâce à Rouletabille, fut naturellement expliqué avec le seul secours de la prodigieuse logique du jeune homme, comment on constata que l’assassin n’avait passé ni par une porte, ni par une fenêtre, ni par l’escalier, « chose que la justice ne voulait pas admettre ! » vous le verrez dans la deuxième partie du Mystère de la Chambre Jaune :
« LE SECRET DE Mlle  STANGERSON »