la fenêtre, le boudoir où se trouvent les femmes…
– Je tirerai dessus…
– Et si vous le manquez ? Si vous ne faites que le blesser ? Il s’échappera encore… Sans compter que, lui aussi, est certainement armé… Non, laissez-moi diriger l’expérience, et je réponds de tout…
– Comme vous voudrez, » me dit-il.
Alors, après m’être assuré que toutes les fenêtres des deux galeries sont hermétiquement closes, je place Frédéric Larsan à l’extrémité de la galerie tournante, devant cette fenêtre que j’ai trouvée ouverte et que j’ai refermée. Je dis à Fred :
« Pour rien au monde, vous ne devez quitter ce poste, jusqu’au moment où je vous appellerai… Il y a cent chances sur cent pour que l’homme revienne à cette fenêtre et essaye de se sauver par là, quand il sera poursuivi, car c’est par là qu’il est venu et par là qu’il a préparé sa fuite. Vous avez un poste dangereux…
– Quel sera le vôtre ? demanda Fred.
– Moi, je sauterai dans la chambre, et je vous rabattrai l’homme !
– Prenez mon revolver, dit Fred, je prendrai votre bâton.
– Merci, fis-je, vous êtes un brave homme »
Et j’ai pris le revolver de Fred. J’allais être seul avec l’homme, là-bas, qui écrivait dans la chambre, et vraiment ce revolver me faisait plaisir.
Je quittai donc Fred, l’ayant posté à la fenêtre 5 sur le plan, et je me dirigeai, toujours avec la