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OÙ FRÉDÉRIC LARSAN EXPLIQUE…

pareil serment, nous ne crûmes guère à la parole de M. Stangerson ? Frédéric Larsan venait de nous faire entrevoir la vérité : ce n’était point pour la perdre de si tôt.

Comme M. de Marquet nous annonçait que la « conversation » était terminée et que nous nous apprêtions à quitter le laboratoire, le jeune reporter, ce gamin de Joseph Rouletabille, s’approcha de M. Stangerson, lui prit la main avec le plus grand respect et je l’entendis qui disait :

« Moi, je vous crois, monsieur ! »


J’arrête ici la citation que j’ai cru devoir faire de la narration de M. Maleine, greffier au tribunal de Corbeil. Je n’ai point besoin de dire au lecteur que tout ce qui venait de se passer dans le laboratoire me fut fidèlement et aussitôt rapporté par Rouletabille lui-même.