et qui ne pouvait plus sortir de cette forteresse.
Il alla le dégager, ce dont le remercia tout de suite M. Ordinal.
— Et M. Souques ? interrogea Titin. Il n’est donc pas avec vous ? Serait-il malade ou trépassé, le cher homme ?
— Ne me parlez plus de M. Souques, répondit M. Ordinal. Il n’est pas « vivable » ! J’ai rompu toutes relations. Nous travaillons maintenant chacun de notre côté !
— Je le vois ! dit Titin en souriant.
— Ainsi, aujourd’hui, il ne doit pas quitter la mariée, et moi, je ne vous quitte pas, à cause de Hardigras, vous comprenez ?
Et M. Ordinal se mit à rire.
— Si je comprends ! vous êtes plutôt gai maintenant, monsieur Ordinal. Si nous devons désormais vivre ensemble, j’aime mieux cela, voyez-vous !
— C’est cet affreux M. Souques qui m’avait rendu aussi triste ! Quel soulagement ce sera pour nous deux, d’être débarrassés de lui, monsieur Titin !
— Vous m’en voyez enchanté, monsieur Ordinal.
— Sans compter que ce Souques est entêté comme un mulet. Il est toujours dans la même idée que vous savez, en ce qui concerne Hardigras.
— Ah oui ! Il est vraiment plus « fada » que je ne croyais. Et vous, monsieur Ordinal ?
— Oh ! moi je me suis souvenu de la petite conversation que nous eûmes, passage Négrin,