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plus tyrannique encore. Et il répéta ce qui avait été dit pour la Chambre Jaune.

— Il faut, dit-il, qu’il y ait un trou dans ce plancher, dans ces plafonds et dans ces murs.

— Il n’y en a pas, répondit Rouletabille.

— Alors, c’est à se jeter le front contre les murs pour en faire ! continua M. Darzac.

— Pourquoi donc ? répondit encore Rouletabille. Y en avait-il aux murs de la Chambre Jaune ?

— Oh ! ici, ce n’est pas la même chose ! fis-je, et la chambre de la Tour Carrée est encore plus fermée que la Chambre Jaune, puisqu’on n’y peut introduire personne avant ni après.

Non, ce n’est pas la même chose, conclut Rouletabille, puisque c’est le contraire. Dans la Chambre Jaune, il y avait un corps de moins ; dans la chambre de la Tour Carrée, il y a un corps de trop !

Et il chancela, s’appuya à mon bras pour ne pas tomber. La Dame en noir s’était précipitée… Il eut la force de l’arrêter d’un geste, d’un mot :

— Oh !… ce n’est rien !… un peu de fatigue…