tine suppliait : « Ne le tue pas ! Ne le tue pas ! »
Il y eut une forme bondissante — l’homme — qui vint crouler jusque sur le balcon en étendant les bras, tandis que l’arme terrible continuait à le fracasser.
Et il ne bougea plus ! Christine, délirante, s’était jetée sur sa poitrine.
Et puis, il y eut un silence extraordinaire.
Le vieux, qui avait croisé les bras, montrait une figure de fou.
À ce moment, Jacques sortit à son tour de son appartement et vint se mêler à la scène. Alors, Christine se releva et dit : « Papa l’a tué ! »
Le vieux prononça distinctement : « Il ne m’obéissait plus ! et c’était de ta faute ! j’aurais dû m’en douter ! »
Quant au fiancé, il ne dit mot, il ramassa le cadavre, le poussa dans l’atelier où ils s’enfermèrent tous et où ils sont encore au moment où j’écris ces lignes.