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THÉOPHRASTE PRÉTEND QU’IL N’EST PAS MORT…

» — Vous n’allez peut être pas apprendre à monsieur comment il est mort !

» Adolphe baissa la tête en s’avouant vaincu, et nous nous dirigeâmes, réconciliés, bras dessus, bras dessous, vers la rue du Petit-Pont.

» Cependant, j’avais besoin d’explications et je voulais savoir comment les historiens racontent ma mort. Adolphe, pour son excuse, m’avoua la fable qui court aujourd’hui les ouvrages les plus autorisés, et qui semble du reste étayée sur les pièces les plus authentiques. Et j’appris comment on avait déshonoré ma mort !