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CONFITOU

ciers, après maints saluts réglementaires, s’entretenaient avec leurs amis, il revint vers Confitou, se pencha vers lui, et, à voix basse, mais en plein nez, lui jeta :

— Eh bien ! tu sais… tu n’as pas honte de te balader, comme ça, avec eux !… moi, je les sers, parce que j’y suis forcé, mais toi !…

Confitou, plus rouge que jamais, l’interrompit :

— Tais-toi ! fit-il, en montrant, d’un mouvement de tête, l’oncle Moritz et le cousin Fritz ; tu ne vois donc pas que je suis prisonnier !…