Page:Leroux - Confitou.djvu/123

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

CONFITOU
113

Valentine voulut arrêter Freda, mais celle-ci, sanglotante, la repoussa rudement, en lui jetant :

— Que je ne te voie plus ! que je ne te voie plus jamais !

— C’est entendu ! dit Valentine, un peu pâle, car elle avait été réellement « brutalisée » et elle se sauva de son côté en criant :

— Adieu ! adieu ! adieu pour toujours !…

Le professeur, un instant, resta seul. Il se mit les deux mains sur la face. Quand il les ôta, il montra le visage d’un homme qui marche à la mort. Il alla rejoindre Freda.