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AU GRENIER

achetait linge, robes, jupons, si bien qu’il fallut couper court à son beau zèle, car sa bourse entière n’aurait pas suffi à solder son compte.

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« Jamais vous ne viendrez à bout de ce travail, mon enfant, lui dit Mlle Favières pour l’arrêter ; d’ailleurs, est-ce bien raisonnable de confectionner tant de choses au hasard ? Laissez-moi m’informer dans le pays ; il ne doit malheureusement pas manquer de familles à secourir : nous choisirons la plus nécessiteuse et la plus méritante, et vous ferez alors à coup sûr des vêtements à la taille de chacun.