Page:Lermina - L’effrayante aventure.djvu/198

Cette page a été validée par deux contributeurs.

par les moyens ordinaires. Quelques cordes solides et de vigoureux bras auraient achevé l’œuvre.

« Que s’est-il alors passé ? Je me souviens que j’avais déjà déchargé certaines parties des condensateurs… encore quelques instants et je touchais au but. Seulement j’eus besoin — ma mémoire est très fidèle — d’une des tiges que j’avais préparées et qui, par sa forme recourbée, me permettait de la faire pénétrer à l’intérieur. J’atteignais ainsi le ressort supérieur de la porte dont une partie se repliait et livrait passage à ma main qui achevait l’œuvre…

« J’eus le tort, je le reconnais maintenant, de faire appel à autrui — à M. Labergère, si je ne me trompe — pour obtenir l’outil désiré… ce fut alors qu’un corps lourd se précipita sur moi… détermina le choc de ma baguette à vrilium contre une partie de la paroi… »

Il se donna à lui-même quelques explications dont le résultat fut qu’il ignorait comment la porte avait pu s’ouvrir et se refermer sur lui…, en même temps que les charges de vrilium contenues dans des baguettes, et soudain libérées, déterminaient un éboulement et la chute de l’appareil.