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Il avait en portefeuille les articles du Réveil, les insérés, et ceux qui, pour une raison quelconque, n’avaient pu être imprimés. Il les colligea, les compléta, et apporta à Vanier le recueil, sous ce titre : les Mémoires d’un veuf. En même temps, il acheva et remit au même éditeur les manuscrits de Louise Leclercq et de Mme  Aubin, et aussi un recueil de vers : Jadis et Naguère.

Ces divers ouvrages parurent chez l’éditeur Vanier ; mais Verlaine n’était plus à Paris. Il avait, presque brusquement, quitté la ville, et de nouveau le goût de la terre l’avait repris. Il s’était derechef improvisé cultivateur.