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la commune

président, il était question des femmes. Mais que voulez-vous que nous y fassions ?

— Eh non, dit un autre, c’est de quelque chose qu’on a fait au prince Parfait ; mais le diable m’emporte si je sais en quoi cela nous regarde.

— Notre honorable confrère Pingrelet, dit alors M. Legros, le propriétaire du château, nous propose l’abolition de la loi qui défend à tout roi, empereur ou prince l’entrée de la commune. J’ai l’honneur de connaître le prince Parfait qui, de même que tous les princes, surtout quand ils n’ont pas encore régné, est doué des plus grandes vertus, et j’appuie la proposition.

Les conseillers se grattèrent la