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ville, quand autrefois il fallait une journée pour y charrier nos provisions, et parce que nous sommes à une journée seulement de plus grandes villes, où nos denrées autrefois n’allaient pas du tout. Or, qu’est-ce qui a fait les chemins de fer ? C’est l’idée, c’est la science, et elle en fera bien d’autres, pour notre bonheur à tous.

Quand Jacques parlait ainsi devant un autre habitant de la commune, Pingrelet, celui-ci se mettait à ricaner ; car il était de ceux qui soutiennent qu’il n’y a rien d’utile que de s’enrichir, n’importe comment, et que tout le reste ne compte pas.

— Comme on voit un peu partout des gens qui ressemblent à Pin-