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la commune

consistant à imposer l’air qui entrait par les fenêtres, et la fumée qui sortait par les cheminées.

Cependant, si le prince Parfait avait perdu de vue Francette pendant la guerre, il ne l’avait point oubliée ; non qu’il l’aimât véritablement, puisqu’il ne cessait point de mener une vie débauchée ; mais il était piqué sans doute de ne pouvoir triompher de cette simple fille, si charmante d’ailleurs. Aussi était-il revenu à Malenpis peu de temps après le retour de Pingrelet et de sa famille, et il logeait, comme à l’ordinaire, chez M. Legros, dont les ennemis avaient respecté le château. — Car il est bon d’observer que les grandes gens de toutes les nations ne se font jamais de mal entre eux, et sont pleins