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réuni pour cela. Maintenant, c’était tout ce qu’il avait à faire que voter des fonds ; on ne lui demandait rien autre chose, et il ne pouvait rien de plus. Au lieu de traiter comme autrefois toutes les affaires de la commune, comme il était bien naturel, puisque c’étaient leurs affaires et non celles du roi, il fallait que, pour un bout de route, pour une construction, pour l’école, pour la mairie, pour un rien, et enfin pour tout, on en référât au préfet et aux ministres du roi Bombance, qui seuls décidaient de ces choses, apparemment parce qu’ils ne les connaissaient pas.

Tout à coup, on apprit que la guerre était déclarée entre le roi et l’empereur. — Pourquoi cela ? demandait-on.