de tous les gens bien pensants est contre vous. Les moins dévots conviennent que cette insulte à un prêtre doit être vengée, dans l’intérêt des hiérarchies sociales. On attribue en outre à M. Jacques Galéron des idées tout à fait en désaccord avec sa position et ses devoirs ; et, il faut bien l’avouer, madame, votre plaidoyer, fort sincère, est loin, sous ce rapport, de le justifier.
Vos opinions, vos réflexions, si indépendantes, répondent des siennes et de celles de votre élève. Ce vieux grand-père me semble aussi beaucoup trop raisonneur, et, bien que la glorieuse date de 89 soit chose consacrée, même par notre gouvernement, il n’est pas bon d’en tirer trop de conséquences ; on doit laisser le soin de la rappeler à ceux qui le font avec mesure, et l’autorité seule est compétente pour cela.
M. le recteur craint vivement, je vous l’avoue, que le malheureux esprit d’indépendance de cette famille ne suscite partout de nouveaux conflits. La maintenir à la