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LES AFFRANCHIS

Philippe.

Eh bien qu’est-ce qui te chiffonne ? Est-ce que je me dérange ? J’abats une besogne effrayante.

Marthe.

Tu travailles trop, mais tu n’as pas les yeux d’un travailleur. Tandis que l’huile baissait dans ma lampe, je ne sais quelle lueur, quelle flamme remonte dans ton regard.

Philippe.

Tu as toujours eu la manie du couvre-feu ! Mais rassure-toi, il y a autre chose dans la vie, pour vous faire un regard de vivant, que les amours du premier âge et même du dernier.