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ACTE 1, SCÈNE 5

maison vous semblera bien réduite. N’oubliez pas que vous l’avez aimée.

L’Abbesse.

Elle ne me reprendra que trop vite puisqu’aussi bien, il me faudra la quitter.

Marthe.

C’est comme tu voudras, mais je ne vois pas ce qui t’empêcherait de finir tes jours ici, chez toi.

L’Abbesse.

Merci, tu es bonne. Chez moi, c’était ailleurs.

(Un temps.)

Marthe, tout à coup.

Où donc est ta jeune fille ?