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LES AFFRANCHIS
Philippe. (Il a l’air jeune. Rien de trop universitaire.)
Il le faudra bien si l’on continue à me faire du tapage.
Massalsky.
Les ignobles événements de la semaine dernière nous ont bouleversés.
Philippe.
Oh ! rien de si grave ! Nous étions très tranquilles quand, tout à coup, pour mieux prendre leurs notes, ils se sont aidés avec des cris d’animaux. Mes amis les ont giflés, c’est d’où est venu la bagarre… On savait depuis quelques jours que la Supérieure générale des Cisterciennes réformées devait être
reçue chez moi après l’exécution des décrets.
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