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ACTE 3, SCÈNE 4
négligent et un peu lâche de ceux qui acceptent les circonstances et n’ont jamais, une fois dans la vie, posé leurs conditions.
Hélène.
Et vos fils, et Marie ?
Philippe.
Ah ! ceux-là… ils se soucient bien de moi. Que j’embrasse ma fille ou l’un des autres, que je les retienne une seconde, ils n’ont qu’une pensée : filer. Ce n’est pas que je leur fasse peur, à cet âge on n’est guère tendre.
Hélène, avec un demi-éclat.
Pour moi vous serez toujours le mari de Marthe Alquier.