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ACTE 3, SCÈNE 2

Hélène.

Mon parti est pris, j’entrerai sans doute en novembre au Sacré-Cœur.

Philippe.

Je croyais que l’Abbesse vous le déconseillait. Non, il me semble que même dans la vie enseignante, vous ne devez pas retourner au couvent.

Hélène, émue.

Vous êtes bon, tous les deux ; que voulez-vous que je fasse ? un honnête mariage sans doute, celui que votre femme a rêvé pour moi, ce jeune monsieur dans les Trésoreries ?