Page:Leneru - Les Affranchis.djvu/192

Cette page a été validée par deux contributeurs.
LES AFFRANCHIS

indue pour la campagne. (Philippe éteint aussitôt les bougies de sa table de bridge.)

L’Abbesse.

Ta montre avance, je dis 11 h. 40. (Toutes plient leurs ouvrages, vont et viennent, ralliant ce qui leur manque.)

Marthe, trouvant un mouchoir.

Tenez, Hélène, ceci est à vous. Je te laisse éteindre, Philippe. (Elle replace les fauteuils en arc de cercle, arrange le tapis du pied.)

L’Abbesse, se retournant.

Bonsoir, mon frère.