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ACTE 3, SCÈNE 1

Marie.

On peut être une très honnête fille et avoir un amant, ça tu sais… (Hélène et l’Abbesse s’installent pour écouter Marie.) Quand ils seront mariés, on n’y pensera plus. On dira seulement : elle aurait pu choisir un autre train… Voilà maman qui interroge miss et les domestiques, et l’on oublie de m’envoyer me coucher.

L’Abbesse.

À propos, tu ferais aussi bien de ne pas attendre et de nous dire bonsoir tout de suite.

Marie, allant se faire embrasser.

Tout de même, j’aurais voulu savoir comment il s’appelle.

L’Abbesse.

Qui ?