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LES AFFRANCHIS


Scène 7

PHILIPPE. — Mlle  DURET.
Mlle  Duret.

Puis-je reprendre mon article ? Je le terminerai ce soir, et s’il doit partir demain. (Elle cherche et s’attarde.) Vous n’étiez pas content tout à l’heure. Monsieur Alquier. Je ne suis pas responsable. Les erreurs dont vous parlez sont des fausses notes.

Philippe, toujours assis, les mains dans les poches de son veston militairement boutonné, les coudes en dehors. Il n’a rien d’abattu, il est préoccupé, violent. Pendant toute la scène il gardera cette pose, seulement, de temps à autre, tournant la tête, avec une vivacité de jeune homme et une remarquable insolence.