Page:Leneru - Les Affranchis.djvu/142

Cette page a été validée par deux contributeurs.
LES AFFRANCHIS

Mlle  Duret, avec rudesse.

Vous avez parfaitement observé, il y a quelque chose… Mais, rassurez-vous, je n’ai pas le tempérament victime, et je suis on ne peut plus résolue à tenter ce qu’il faut pour ne pas souffrir. (Voyant Hélène ranger ses livres.) Vous pliez déjà bagage ?

Hélène.

Je n’aime pas laisser l’abbesse seule trop longtemps. Elle n’est plus la même ici. Elle me disait l’autre jour que cette maison l’amollit. De sa part, l’aveu est extraordinaire.

Réal, paraissant comme les jeunes filles quittent la pièce, à Mlle  Duret.

Alquier est bien là-haut, mademoiselle ?