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LES AFFRANCHIS

Hélène. (Même jeu.)

Eh bien, Mademoiselle Duret, si j’en étais là, je vous en donne ma parole d’honneur, ma vie serait autrement vécue. Il me faudrait de telles choses pour me remplir le cœur et me consoler de la mort. Je la vendrais plus chèrement qu’ils ne font, ma vie.

Mlle  Duret. (Rire strident.)

Parbleu !

Hélène, après un silence.

Pourquoi restez-vous auprès de lui ? Cela doit être pénible à la longue de servir des idées qu’on ne partage pas.