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ACTE 2, SCÈNE 4

Marthe.

Vous êtes comme Philippe, il s’endort sur les livres gais.

Hélène.

Ce qui n’empêche pas M. Alquier d’avoir de l’entrain. Je l’ai rencontré tout à l’heure, nous avons remonté l’avenue. Impossible d’avoir plus de gaieté.

Marthe.

Oui, c’est quelquefois un enfant, je suis obligée de le faire taire… Pour en revenir à vos livres, c’est Philippe qui vous les a donnés ? Je serais curieuse de savoir ce qu’il vous préconise (Examinant les titres.) « Théorie nouvelle de la Vie »… « Par delà le bien et le mal »… Mais Philippe est complètement fou !