pagnons tels que vous, et vous m’obligez à vous dire adieu.
Des liaisons comme la nôtre… ce n’est pas si simple à dénouer. Vous n’êtes pas seulement une femme qui éloigne un homme reçu dans son intimité… Vous êtes mon maître, vous n’avez pas le droit de m’abandonner.
Je n’ai pas le droit de torturer ma fille.
Toutes ces soirées que je passais auprès de vous…
Chut !
Vous continuerez à parler, à vivre pour les autres… Claude… vous viendrez me voir !
Vous travaillerez… vous écrirez de belles choses qui me feront battre le cœur… Allez-vous en bien vite, maintenant, il faut que je pense à ma fille. (Flahaut se laisse tomber et lui enserre les genoux.). Flahaut, je vous aime comme un fils. (La porte s’ouvre, Denise entre et ne voit le jeune homme qu’au milieu de la scène. Elle a un petit sursaut et s’arrêté net.)
Scène 3
Flahaut, puisque vous partez, dites au revoir à Denise.
(Flahaut se relève, il est obstiné, douloureux et contraint.)
Ne vous croyez donc pas obligé d’éloigner Monsieur Flahaut, je vous affirme qu’il n’y a jamais rien eu entre nous.