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Guérillas
Tu marches soucieux, mon pauvre capitaine.
Par les noirs défilés d’une sierra lointaine,
Bien au delà des mers, dans un pays perdu.
Une larme parfois roule au creux de tes joues
Tandis que, grelottant de fièvre, tu secoues
Ton caban lourd de pluie et par les vents tordu.