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guère le sens féodal, et, franchement, je crois qu’il serait difficile à prendre par le côté des croisades. Mais nous verrons, comptez sur moi pour agir au mieux de vos intérêts et de votre désir. Si je vous ai prié d’être des nôtres pour ce soir, croyez-le bien, c’est d’abord pour avoir l’honneur de votre compagnie, mais aussi pour vous mettre en relations directes avec le nouvel acquéreur lui-même. Ne précipitons rien. Vous ne doutez pas de mon appui sérieux, si je puis vous être bon à quelque chose.

— Merci ! mille fois, mon cher monsieur Gerbier. J’accepte avec grand plaisir. A ce soir donc.