Page:Lemoyne - Œuvres, Une idylle normande, 1886.djvu/126

Cette page n’a pas encore été corrigée

un tel respect de la vérité, qu’on se demande s’il n’aurait pas vécu lui-même dans la plume de ses nombreux sujets. Ceux qu’il expose dans son musée m’ont paru si vivants après décès, que s’ils venaient à renaître ils seraient, je crois, surpris et charmés de leur toilette définitive, spécimen vraiment pittoresque de leur bonne grâce ou de leur farouche aspect.