Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
nous faire rentrer quand nous aurions battu l’empereur.
C’était le sentiment des armées allemandes. On en avait assez après Sedan, et l’on demandait à retourner.
nous faire rentrer quand nous aurions battu l’empereur.
C’était le sentiment des armées allemandes. On en avait assez après Sedan, et l’on demandait à retourner.