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effilé, était ouvert sur la table. Ils
étaient remplis de terreurs vagues.
V
a disparition de Hein Zacht
commençait à s’ébruiter.
Il était d’un village voisin ;
il avait perdu père et mère, mais il
avait des amis, des cousins. Ceux-ci
connaissaient la grosse fortune qu’il
était allé chercher à la ville et
s’étonnaient de ne pas le voir revenir.
On s’imagina d’abord qu’il faisait
des ribotes ; au bout de dix
jours, il y eut des craintes. Peut-être
avait-il été attaqué en chemin.
Le garde-champêtre en parla au