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XIX
ette année-là, une maladie
de la pomme de terre, qui
leur enleva la récolte d’un
champ, et des pluies firent manquer
les regains. Un chien enragé
mordit deux de leurs vaches et il
fallut les abattre. Enfin, les porcs
engraissèrent mal et s’entonnèrent.
Ce fut une calamité.
Bast accusait en lui-même le mort. Peut-être était-il vexé qu’ils l’eussent laissé sans messes, et il redoublait de prières et de pratiques pieuses pour l’apaiser.
Un dimanche matin, après messe,