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Le curé mit son pouce dans son livre, coula ses bras derrière son dos, et haussant la tête, répondit :
— Parlez, l’ami, je vous écoute.
Ils firent cinq ou six fois le tour du jardin, et Bast parla longuement.
— Voyez-vous, M. le curé, ça n’est pas pour moi. Dieu soit loué ! je n’ai rien sur ma conscience. Mais mon aîné se dérange.
Le curé stoppa une seconde, et fronçant les sourcils :
— Ah ! il se dérange !… Continuez.
— C’est que, M. le curé, il n’ faudrait pas avoir l’air de le tenir de moi. Il m’en arriverait du mal.
« Ben, oui, il se dérange, et là, tenez, M. le curé, je vais tout vous dire. C’est avec cette grande p… de Tonia.
Le curé remua ses bajoues, avec dégoût.