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Chapitre XV. 441 Chapitre XV. $.1. Comique de Moj/fe fide r Agneau thmti par les vsùnqtsessrs de la beste. I TE vis dans le ciel un autre prodige grand 4/ & admirable: Sept Anges qui avoient sept >laies, qui font les demieres, parce qu’elles font ’accompliflemenc de la colere de Dieu. a Et je vis comme une mer d’une eautranfpa- rentc comme du verre, mêlée de fcu: & ceux duiestoientderacurca viftorieux delà beste, de ion image, [ 8- de son caraftere ] & du nombre de son nom qui estoient sur cette mer tranlpa- rence comme du verre qui avoient des harpes de Dieu :\t^ } & ils chantoient le cantique de Moyfe servi- teur de Dieu, & le cantique de l’Agneau en di- (ânt: Vosœuvres font grandes & admirables, 6 Seigneur Dieu toutpuissànt ; vos voies font justes & véritables,’6 Roy ‘ des Saints: 4 Qui ne vous craindra pas, 6 Seigneur, & JtT.io.7, qui ne glorifiera pas vostre nom? car vous seul dleslàinc, & toutes les nations viendront vous adorer, parce que vous avez fait éclatter vbs ju- gcracnsi Ji 1, Sept ceupes dor pleims de la colere de Dieu, donnéesksept Anges. y Comme je regardois ensuite, je vis le temple du tabernacle du témoignage qui s’ouvrit dans le ciel. 6 Et les lèpt Anges qui portoient les sept plaies forcirent du temple, vestus d’un lin 6n f/" ij I /. V. des ficclw. Digrtized by