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c H A f I r *. « VII. 441 13 & les écaikt du ciel tombcrent sur U terre, comme Iorfque le figuier clfrut ^ité par un grand vent tlatâe tomber 1« figues vertes. 14 Le ciel se retira comme un livre que l’on roule, & toutes les montagnes’fc les ides furent ébranlées de leur place. I y Et les Rois de la terre, les grands du monde, les officiers de guerre, les riches, les puilTans, & tous les hommes efclaves ou libres se cachèrent dans les cavernes & dans les roches des montagnes*,\t’ I £ Et ils dirent aux montagnes, & aux rochers ; Tombez (ùr nous, & cachez-nous de de- rantlafocedeceluyquiestaffisfiirlethrône, & de la colcre de l’Agneau -, 17 parce que le grand jonr de leur colere est arrivé; & qui pourra fubfifter en leur prefence î Chapitre VII. $. 1. ^u/ttre Anges qui retiemmt lesqusUre vents. Serviteurs dt Vieu marquez fitr le front. 1 A Pu, e’s cela, je vis quatre Anges aux ^quatre coins de la terre, qui retenoient les quatre vents dumonde, afin que le vent ne fouffiaft point sur la terre, ny sur la mer, nyfur aucun arbre. 4 t Je vis encore un autre Ange qui tnontoit t Tous du costé de TOrient, ayant le fceau du Dieu vi-1®‘ Saino. vant ; & il cria â haute voix aux quatre Anges qui avoient receu le pouvoir de ’ frapper de plaies la g terre & la mer, I /.nuircàla tein. «