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Chapitr.iV. 417 .C HAPITRE V. 5.1.\tLivre firmi defist feeaux. I T £ vb enlûice dans la main droitte di .^^•icckiy qui estoit aflIs sur lethrône un livre écrit dedaosfc dehors, fceUéde sept fceau*. a Et je vis un Ange fort si puissànt qui difoit à haute voix: Qui estdigned’ouvrir le livre & d’en rompre les feeaux ? î Mais nul ne pouvoit ny dans le ciel ny sur la terrt, ny fous la terre, ouvrir le livre, nykre- garder. 4 Je pleurbis beaucoup de ce qu’ilnes’estoit trouvé personne qui fijft digne d’ouvrir le livre, [ (■ & de le Urc,] ou de le regarder. y Et l’un des vieillards me dit: Ne pleurez point: voicy le lion de la tribu de Juda, le re- jetton de David, qui a obtenu par là viâoire le pouvoir d’ouvrir le livre & d’en rompre les sept feeaux. $, a. L’agnem ouvre le livre. Parfum des frieres. Cantique des Asgés, si de toutes les créatures. 6 t J’ regarday, & je vis au milieu du thrô- ne & des quatre animaux, & au milieu des vieil- 33, l.irds, l’agneau qui estoit comme une viâime égorgée, ayant sept cornes & sept .yeux, qui font les sept esprits de Dieu envoyez par touté 1a terre. 7 Et il vint prendre le livre de la m.iin droite de ccluy qui estoit aflis sur le thrône ; 8 & l’ayant pris, les quatre animaux fcles vintquatre vieillards fè prosternereiit devant l’agneau, ayant chacun des harpes Sc des coupes oogle