Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/414

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Chaéitri i ; ’407 iqui )*entendoit la roix ;«& regardant derrière moy, je vis lêpt chandeliers d’or ; 1} Et au milieu de ces lèpt chandeliers d’or, j’appcrceus un homme quireflèmbloitauFilsde l’homme, vestu d’une longue robe, & ceint au- delTous des mammelles d’une ceinture d’or, 14 Sa teste Sc ses cheveux estoient blanès comme la laine la plus blanche, Sc comme la neige ; ses yeux rcflèmbloient à une flantme de ly ses pieds estoient semblables "à l’airain le plus pur Sc le plus luifant, Sc estoient aussy ardens que s’ils euflènt esté dans une fournaife ; & (à voix retentifloit comme le bruit des plus grandes eau*. 16 II avoit en (à main droitte sept étoiles, fc de sa bouche sortoit une épée trenchante qui coupoit des deux costez ; Sc son vifage estoit auffy brillant que le soleil dans sa plus vive lu- mierci 17 Au moment que je l’apperceus, jetom- bay à ses pieds comme mort ; mais ii mit fer moy la main droitte, & médit ; Ne craignez point ; je suis le premier & le dernier.\t£/4»4\ti.4; 18 Je suis celuy qui visa j’ay esté mort, &\t’ je vis maintenant dans les siecles des siecles, & /«fi-.iz, je tiens entre mes mains les clefs de la mort & de * î- l’enfer. 19 Ecrivez donc les choses que vous avez vcües, Sc celles qui font, & celles qui doivent ; arriver enfeite. 20 Voicy le mystere des sept étoiles que vous avez veües dans ma main droitte, Sc des sept chandeliers d’or. Les sept étoiles font les sept Dd «