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D E s. JcAN, Chap. III. }8y ty Tout homme qui hait son frere est homicide ; &VOUS sçavez que 7 la vie etemelle ne demeure point dans uu homicide. I <î Nous avons reconnu l’amou^deDieu en- Jam ij. vers nous en ce qu’il a donné sa viepour nous. Et nous devons donner auilÿ nostre vie pour nos freres. 17 Que si quelqu’un a des biens de ce monde, Luc 5. t r. &que voyant son frere en neceffité illuy ferme fon cœur ses entrailles, «comment l’amour de Dieu demeureroit-il en luy ? 18 Mes paits enfans, n’aimons pas de parole ny de la langue, mais par œuvres & en vérité f. 19- Car c’est par là que nous connoiflons que nous sommes erfmu de la vérité, > 8c que nous en perfuaderons nostrecœur en la prefenee de Dieu. ao Que si nostre cœur nous coudamne, que Tte fera point Dieu quie& plus grand que nostre cœur, & qui connoist toutes choses. ai Mes bienaimez, si nostre cœur ne nous condamne point, nous avons de l’afliira nce devant Dieu ; aa ■& quoyque ce soit que nous luy dcman- Matth. dions, nous le recevrons de luy, parce que nous *>•>■*• Tardons ses commandemens, & que nous fai-

ous ce qui luy est agreable.

aj Et le commandement qu’il nous a soit est 7«» 5. de croire au nom defon Fils JesusChris & de nous aimer les uns les autres comme il nous 34.15. i i. Ta commandé. 7 au. que ml honiiciàc n’a la vie etemelle rdidcmc en luy. encore de l’amour pour Dieu? 9 «».& que nous affûtons 8 au. comment auroit il j nollte, «cc. Digrtized by