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D E s. Jban, chap. III. jl} Chapitre III. $. I. chrefiien incenmt m tnmie. cemmet lepeché, jlenfimt du Mable.\tefi né de Dieu, ne peche peint. I Onsioerez quel amour le Pere nousa témoigné de vouloir que nous Ibyons appeliez, [fc que nous soyons en effet] enfons de Dieu. C’est pour cela que le monde ne nous connoist pas parce qu’il ne connoist pas Dieu. a Mes bienaimez, nous sommes déjà enfans de Dieu, mais ce que nous ferons un jour ne paroist pas encore. Nous sçavons que ’ iorfque ytfutCbnfi fè montrera dans fo gloire, nous ferons semblables à luy, parce que nous le verrons tel qu’U est. î Et quiconque a cette efyerance en luy, • fc conferve pur, comme luyméme est pur. 4 Tout homme qui commet un peché commet auflÿ un violement delaloy, car lepeché est le violement de la loy. 5 Vous sçavez qu’ii a paru dans fowosfe pour 3 abolir nos pechez, fc qu’il n’y a point euluy /yi, j,. j. de péché.\ti.Pier.i. 6 Quiconque demeure en luy ne peche point, & quiconque peche ue l’a point veu & ne l’a point connu. 7 Mes petits enfans, que personne ne vous ’ Bb V I au. Iorfque ce quenous il est &nt luymcme. devons estteparoiftta. uo*** I 3 «*. se charger de nos pe- ferons semblables à luy. I cliez. i V. se fefciifie, comme 1 DigrlyzeO Dy GoOglc