Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/386

Cette page n’a pas encore été corrigée

r de s. Jean, Chap. II. 37» (noins quelqu’un peche, nous avons pour advocat envers le Pere JesusChrist qui efi juste. £ Car c’est luy qui est la viélime de propitiation pour nos pechez ; & non seulement pour les nostres, mais aussy pour ceux de tout le monde. 3 Or ce qui nous fait epnnoistreqHcnou? le connoilTons veritablcmeat, est si uous gardon* fes commandemens. 4 Celuy qui dit, qu’il le connoift, & qui ne garde pas ses commandemens, est un menteur, & la vérité n’est point en luy. 5 Mais fî quelqu’un garde ce que Ü parole mut trdmue, l’amour de Dieu est vraiment parfrit eu luy. C’cft par là que nous connoiflons que nous sommes en luy. 6 Cduy qui dit, qu’il demeure en Je su s- Christ, doit marcher luyméme comme JesusChrist a marché. §. 1.\thait fin fiere efi ions les tenebres, aitnelewonde ri aime peint Dieu. La triple cenctffifcence regne dans le monde. 7 Mes chers freres, je ne vous écris point un commandement nouveau, mais le commandement ancien que vous avez receu dés le commencement ; Sc ce commandement ancien est la parole que vous avez entendue [ S- dés le commencement ’.] 8 Et néanmoins je vous dis quele comman- jetnt). Bb iij\t54.’/-’*’ I ex. m para qtu Meyfi avoit aujfy commandé l’amour-, OH parceque J.C.m a fait Uprtmier precepte it fort Evaagtte. > . «